Jak cię złapią, to znaczy, że oszukiwałeś. Jak nie, to znaczy, że posłużyłeś się odpowiednią taktyką.
Teofila Łapińskiego, zabierając ze sobą transport broni dla Litwy. Na skutek
interwencji dyplomacji rosyjskiej władze szwedzkie internowały go w porcie Malmô 11IV1863. Łapiński z częścią ochotników wyruszył na małym żaglowcu w dalszą drogę, lecz statek ten zatonął w Zatoce Kurońskiej. 3 Prawdopodobnie Łapiński; przebywał on wówczas w Londynie. 4 Por. nr 48. 5 Ciąg dalszy sprawy Janczewskiego; por. „Dokumenty KCN i RN", s. 318. 6 22 XI1863 RN zniósł dotychczasowy Komisariat Prus Wschodnich i utworzył na jego miejsce Agenturę Prus Wschodnich. Naczelnikiem jej został dotychczasowy komisarz Piotr Drzewiecki. Gr oniowska, op. cit., s. 20—21. 7 W Rumunii przebywała część ochotników z wyprawy dowodzonej przez Z. Miłkowskiego, której w lipcu 1863 r. nie udało się przedostać do Polski. 8 Niewielka ekspedycja polska pod dowództwem płk. K. Przewłockiego wyruszyła ze Stambułu na Kaukaz w październiku 1863. W ciągu następnej zimy uczestniczyła w końcowej fazie walk Czerkie- sów, opierających się podbojowi rosyjskiemu. Por. L. W i d e r s z a l , „Sprawy kaukaskie w polityce europejskiej 1831—1864", Warszawa 1934, s. 199 n.; 214 n. 9 Menotti Garibaldi stanąć miał latem 1863 r. na czele morskiej wyprawy stawiającej sobie za cel zdobycie Odessy. Wyprawa ta nie doszła do skutku. O przeznaczonych dla niego sumach por. „Dokumen- ty KCN iRN" nr 154, s. 153. 10 Prawdopodobnie idzie o Józefa Ordęgę. Gen. Lange nie wziął udziału w powstaniu. 11 Załącznika brak. 106 Wydział Wojny RN do naczelnego wodza ziem ruskich gen. E. Różyckiego. Uspra- wiedliwienie postępowania gen. Kruka w związku z wyprawą na Poryck. Nakaz uka- rania niesubordynowanych oficerów. Sprawa oficera de la Tour. Sprawy bieżące Warszawa 4 XII 1863 Le Gouvernement National. Département de Ja Guerre Au commandant en chef des terres russiennes Nr 3845/1254. 1. Nous avons reçu, Général, vos rapports du 16 et du 21 XII. Du ton de ce dernier rapport, nous voyons que vous jugez avec un peu de prévention la conduite du général Kruk1, ce qui nous effraye d'autant plus qu'il en peut résulter des collisions dont la cause nationale est exposée à souffrir beacoup. Aussi nous nous empressons de vous expliquer les faits. La relation ci-jointe2 des événements, lors du passage du détachement de Sien- kiewicz, relation qui nous est communiquée de bonne source vous prouvera, Gé- néral, que s'il n'a pas pris personnellement le commandement des détachements Vol- hyniens, ce n'était pas par manque d'énergie, vu qu'avec la grande insubordination des officiers supérieurs et inférieurs sous ses ordres, lesquels étaient prêts, à tout moment, à se jeter sur leur chef, il était impossible de prendre ce commandement et de se mettre dans une position où il aurait du combattre avec les moscovites et ses subordonnés. Dans de telles conditions, ou il fallait ajourner l'expédition, punir l'insubordination des coupables et de cette manière introduire une rigueur convenable; ce qui, vous l'avouerez, était impossible dans la situation où l'on se trouvait; ou bien il fallait agir comme l'a justement fait le général Kruk3. Il est seulement dom- mage que son choix soit tombé sur un officier qui n'a pas su exécuter les mouvements nécessaires4. Mais que devait faire Kruk? Ne connaissant pas les hommes composant les détachements, Içrsqu'un de ces détachements avait déjà péri avec son chef5 et que deux autres s'étaient rendu coupables de la plus grande insubordination il dut donner un commandant au détachement qui restait. Quant au colonel Struś6, nous n'avons pas douté un moment que les reproches à lui adressés par le général Kruk n'étaient pas fondés, car cet officier nous est parfaitement connu du meilleur côté. Quant aux autres reproches faits par Kruk à l'organisation galicienne, ils ne s'appliquaient pas aux détachements IV, V, VI et VII7 entrés en Galicie, vu que le rapport de Kruk que nous vous avons envoyé était écrit avant cette expédition; ils s'appliquaient aux détachements commandés par le général Waligórski et feu le colonel Czachowski8; si nous vous avons envoyé ce rapport, c'était pour que vous puissiez vous convaincre si des abus ne s'étaient pas glissés dans l'administra- tion des deux Galicies, soit par manque d'énergie, soit par mauvaise volonté de quelques uns des agents. Du reste, ce n'est un secret pour personne que cette administration fonctio- nait des plus mal et, dans ces derniers temps elle est restée entièrement inactive. Nous voyons donc, Général, que si nous avons été mal disposés pour le général Kruk, c'est que nous avions rapporté aux détachements Volhyniens ce qui ne s'ap- pliquait qu'à ceux du général Waligórski et du colonel Czachowski. De plus, chacun sait que pendant le séjour de Kruk en Galicie, il y avait des hommes qui s'efforçaient de l'irriter et de lui présenter tout sous le jour le plus défavorable; il est naturel que Kruk ait cru en grande partie à ce qu'on lui disait, vu qu'il est arrivé en Galicie dans le moment du plus grand relâchement de l'organisation galicienne et qu'il a été témoin de tous les mauvais résultats que ce relâchement a produits. C'est ce qui a fait qu'il a cru à ce qui n'existait pas, ce que l'on peut comprendre et pardonner, bien que cela ne se laisse pas justifier. Nous vous supplions donc, Général, de ne pas vous laisser guider par un senti- ment d'amour-propre à tort irrité, de ne voir, comme autrefois dans Kruk qu'un des fidèles serviteurs du pays et de ses vaillants défenseurs et de lui donner comme tel toute l'assistance qui dépendra de vous. 2. Par ordre du Gouvernement National, vous devez veiller, Général, à ce qu' un conseil de guerre juge avec toute la rigueur de la loi les officiers au sujet desquels nous vous avons écrit précédemment, et surtout Sienkiewicz; les sentences devront être immédiatement exécutées, vu qu'un tel exemple d'insubordination, s'il devait être
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